Dans la brume[M Darkthorn]

Messages : 55 Date d'inscription : 04/09/2009

Henry : Callista un homme viens de déposer cette lettre pour vous.

-Une lettre ?

Elle leva un sourcil tout en s'approchant de son père en laissant la caisse de mangue au sol. Il lui tendit la lettre qu'elle prit. Elle ne connaissait pas l'écriture qu'il y avait dessus et qui viendrai lui faire porté une lettre ? Puis une lumière s'alluma dans sa tête et réalisa que sa devait être l'homme qui était entrain de s'occuper de son poignard, elle attend des nouvelles de rien d'autre et elle n'avait pas casser de nez en fin de semaine, séparer de son grand ami elle à tendance à resté sage. Étonnant on devrai lui enlever plus souvent ! Elle finit donc par ouvrit la lettre et lut rapidement ce qu'il y avait à l'intérieure. C'était bel et bien pour le poignard. Et c'était du gâchis prendre une feuille pour un message de trois lignes...

Henry:Qu'est ce que c'est ? [

-Rien d'important. J'ai fait appelle au service de monsieur Darkthorn pour réparé mon poignard, il me dit tout simplement de retourner le cherche.

Elle replia la feuille et la mit dans la poche de son tablier tout en retournant à sa caisse de mangue. Elle continua sa journée de travaille. Elle était venu le voir après la fermeture la première fois, il devait s'attendre à ce qu'il se passe la même chose. S'il veut être payer elle il faut qu'elle travaille! Ce n'est pas une salle petite bourge qui n'a qu'a cligné des yeux pour faire apparaître des pièces d'or.

L'heure de la fermeture arriva. Jane aida son père à ranger rapidement tout ce qui avait à ranger puis se débarrassa de tout ce qui est de la Callista pour devenir la Jane. Jane étant le coté réelle d'elle et Callista la femme qu'elle devrait être. Peu importe. Cette fois elle ne sorti pas sans une fine été qu'elle pouvait discrètement camouflé sous sa cape, elle n'aimait pas sorti sans arme. Ce n'est pas de sa faute si les ennuis lui colle à la peau et ce ne l'est pas plus si ce soir elle risque de tacher ses mains de sang....

Sa décision n'était pas encore arrêter. Elle laissait le temps passer. L'homme qui lui avait donner le contrat avait trouver un moyen de lui demander si elle acceptait ou pas... sa réponse était indécise. L'homme semblait ravis que le refus soit devenu un peu-être.

Comme la dernière fois elle arriva à la forge après la fermeture...Souhaitons qu'il se soit servi de son cerveau pour comprendre qu'elle n'allait pas être la avant qu'il ferme. De nouveau à son arriver elle vit la lumière dans l'atelier. Elle s'approcha toujours aussi silencieusement. Cette fois il n'y avait pas les bruit de tapage de métal. Était-il vraiment la ? Elle commençait à douté un peu.

Messages : 30 Date d'inscription : 24/08/2009

J'avais passé tout mon dimanche après midi, et une partie de mon lundi matin a refaire le poignard. J'avais desceller la lame, l'avait refondue en un bloc de métal, un peu sombre par rapport aux autres. J'avais été obligé de l'épurer, car certaines impuretés s'étaient incrusté dans le métal avec le temps. Mais malgré cela, il restait un peu plus sombre que le métal jamais user.

Une fois le bloc épuré au maximum, je l'étirai en une petite barre, de la longueur d'un petit bras. Puis je torsada la barre, avant de la replier par le milieu, pour en faire une barre un peu plus large. Enfin, je l'avais aplatit pour en faire le coeur de la lame. Puis par la suite, j'avais pris une autre bande d'acier, moins large et un peu moins longue. Encore une fois, je l'avais torsadé, puis apliqué sur le contour du coeur de la lame, en métal ancien. J'avais laissé au feu quelques heures, pour faire fusionner les deux métaux, et enfin, j'avais fini par forger la lame. Le coeur était plus épais, et de couleur gris sombre. Les deux tranchant et la pointe étaient de couleur plus claire. Même si la différence entre les deux métaux était marquante, la différence se faisait aussi par la cuisson, qui affectait la densité. La solidité d'une arme, et son efficacité, réside en cela. Le centre de la lame doit être un peu moins dense, plus "mou" pour absorber la force des chocs, et les tranchants, plus dense, plus dur pour trancher et briser. C'était une arme parfaite.

J'avais envoyer un message a la jeune femme en fin de matinné. Mais comme elle ne venait pas, ni pendant le midi, ni en début d'après midi, j'en déduis qu'elle n'allait pas venir avant la fermeture et la soirée. Le reste de la journée se passa comme les autres. Puis enfin, mes employé partirent. Et je m'assis a un établi en attendant, un oeil sur la porte de l'atelier, et l'autre sur la garde que je finissait de polir et d'essuyer. Je la vis s'approcher en silence et me raclait la gorge en me levant, pour signaler ma présence. Je m'approchai d'elle.

-Mademoiselle Wildwood

Messages : 55 Date d'inscription : 04/09/2009

Un raclement de gorge se fit entendre. Ce fut suffisant pour que Jane tourne à tête dans la bonne direction pour pouvoir enfin apercevoir l'homme. Elle le détailla du regard rapidement, il lui semblait un peu moins imposant que lors de leur première rencontre, elle c'était surement fait des idées dans sa tête tout en exagérant les proportions. D'une manière étrange sa la rassurant, elle sentait moins le besoin de garder sa main proche de son épée camouflé au cas ou les choses tournerai au vinaigre.

Il la salua tout simplement en disant son prénom. C'est étrange de se faire appeler mademoiselle par une personne qui doit être un ennemis, sa fait bizarre tout cours de demander son service... Qu'est ce qui lui passe pas la tête à cette fille la ? Elle ne sait pas comment agir et c'est facile à voir quand nous sommes dans sa tête. Elle fit un mouvement de tête tout en prenant la parole.

-Bonsoir monsieur Darkthorn.

Tournée autour du pot n'était pas vraiment son genre. Oui elle voulait mieux connaître son adversaire, à quoi parler de la pluie et du beau temps l'aiderai ? Elle enchaina donc rapidement, toujours polie.

- Pardonner l'heure tardive de mon arriver encore une fois je fus prise par une conflit d'horaire. Je me sens pas très alaise avec l'idée de nouveau vous faire perdre votre temps de la sorte. Combien vous dois-je ?

Elle espérait que le prix ne sera pas trop élever même sa ne serai pas de l'argent mal dépenser. Elle espérait aussi qu'il n'est pas du changer les pièces d'origines...Elle avait hate de voir de quoi avait l'aire son arme une fois réparé. Serait-il toujours capable de la manier ? S'il avait changer la lame sa pourrai peu-être causer problème pour les prochains utilisations, la lame qu'elle avait était légère et robuste... enfin. On verra en temps et lieu. Pour le moment elle attendait le reste des indications de la part du forgerons.

Messages : 30 Date d'inscription : 24/08/2009

Je lui tendis le poignard en le tenant prudement par la lame. Et alors qu'elle le pris, je pensai a une chose qu'il fallait que je lui rappelle.

-Ah, au fait. Si vous avez le fourreau, verifiez qu'il rentre bien, les dimensions peuvent être légèrement différente. S'il ne rentre plus, je vous en ferait un autre, ne vous inquietez pas.

Je me remis en tête sa question pour répondre.

-Hum, le prix ? Eh bien douze pièces d'argent et vingt sept pièce de cuivre.

J'espérait qu'elle avait la somme, je n'aime pas faire crédit. C'est le meilleur moyen de ne pas revoir son argent. Et quand on vend des armes, c'est aussi le meilleur moyen de les voir se retourné contre soi lorsqu'on réclame son dû.

-Je n'ai pas eu besoin de beaucoup de métal. J'ai pu réutilisé la lame d'origine pour faire le coeur, et je n'ai eu besoin que d'une bande pour faire le tranchant. Je peux vous affirmer que c'est une arme nouvelle, et d'exception. Prenez en soin. Si vous voulez les détails technique, je peux vous les donner, mais je ne suis pas sur que cela vous intéresse particulièrement. Sachez juste que c'est une arme qu'on ne trouve pas comme cela.

Rien que pour cela, j'aurai du la faire payer plus cher. Mais ce n'est pas une noble, je n'ai aucune raison de lui faire cracher un argent qu'elle n'a pas.

Messages : 55 Date d'inscription : 04/09/2009

Il lui redonna son arme! Elle prit son petit bijou délicatement pour ne pas se couper, on ne sait jamais quelque fois elle peut se montré maladroite quand elle est heureuse. Enfin elle allait se sentir de nouveau vêtus ! Un confort ancien et agréable comme une caresse l'envahis rapidement. Aaron continuait de parler, elle l'écouta tout en regardant son jouet. Il avait changer, il était peu plus lourd, mais ne semblait pas vraiment plus large. Il avait perdu se petit coter brillant qu'avait la lame, surement du par la refonte du métaux. Dommage, mais elle n'allait pas en faire tout un cas.

Oula ! C'était un bon montant qu'il lui demandait en se moment. Elle se mordilla nerveusement la lèvre. Combien elle avait sur elle déjà ? Elle mit le poignard qu'elle venait juste de retrouver sur la table et prit sa bourse pour lui donner le compte. Heureusement elle avait prévu le coup, elle savait qu'au prix d'une arme le montant pour la réparation peu être terriblement élever, surtout avec l'age qu'avait l'arme n'allait en rien aidé le prix à resté le plus bas possible. Elle fini par se mettre à compter ce qu'elle lui devait. Elle mit dix pièces d'argent sur la table près de son arme et le reste en pièce de cuivre.

-Le compte y est. Il y a deux pièce d'argent de plus pour vous dédommagez du temps en surplus.

Pourquoi jouait-elle à la femme normal qui ne va pas essayer de lui arracher la tête bientôt ? Une fois l'homme payer elle reprit l'arme et essaya de l'entré dans le fourreau. Elle du faire une petite pression normal pour entré l'arme tout allait bien . C'est quand elle voulu la retiré que les choses se compliqua. Jane n'avait pas appuyer si fort, mais l'arme décidait tout de même de resté prise.

"Qu'est ce que c'est que cette connerie!?"

-Je me sens un peu embarrassé en se moment. Pourrais-je avoir un peu d'aide. Je ne sais pas pourquoi il ne veut pas sortir....

Bravo Jane.. Une chance que tu n'as pas décider de faire la forte aujourd'hui....de quoi aurais-tu l'aire ?

Messages : 30 Date d'inscription : 24/08/2009

La jeune femme posa son arme sur la table. Pauvre jeune fille, aucun respect pour son arme. On la range, on ne la pose pas sur la table, c'est un risque intolérable. Je n'aurai qu'a tendre la main pour m'en saisir et l'égorger avant qu'elle ai le temps de lever la tête de sa bourse et de ses pièce. Elle sorti plus que le nécéssaire. Et voilà qu'elle se mettait a devenir généreuse.

-Pas la peine. Je n'aime pas devoir de l'argent a quelqu'un.

D'un geste leste, je pris la somme qu'elle me devait et laissa le surplus. Pendant ce temps, elle rangea son poignard, et ne réussit pas a le sortir. Je fis un petit soupire quand elle me demanda de l'aider.

-Donnez moi l'ensemble, s'il faut forcer, je n'ai pas envie de vous faire mal quand ça va ceder.

J'attendis qu'elle m'eut passer le fourreau dont l'arme refusait de se libéré, puis tira doucement, pour jaugé la resistance. Ca coinçait assez, en effet. Je contract mes muscles et tira d'un coup sec. L'arme vint, mais je sentit le bois du fourreau se fendre, et un craquement se fit entendre.

-Hum... Finalement, il va vous en falloir un autre.

Je l'entrainai vers la boutique, et me dirigea vers l'étalage de fourreau de différente taille. J'en essayai plusieurs jusqu'a en trouver un de bonne taille.

-Vous avez quelques minutes ? Juste le temps de fixer les lanières ?

Je fis un petit sourire dans une tentative d'amabilité.

-Ca nous laisse le temps de faire connaissance, entre voisins.

Messages : 55 Date d'inscription : 04/09/2009

Qui avait parler de devoir de l'argent ? Comme il ne lui rendit pas les pièces en main propre elle l'est laissa sur la table. Quand elle avait une idée en tête elle ne revenait pas dessus. C'est pourquoi sa lui prend tellement de temps savoir si elle va vraiment prendre ce risque....

Il voulait qu'elle sorte le poignard de la ? Il venait de lui demander de défaire l'impossible! Comme elle ne sortait jamais sans son poignard et que l'avoir à la taille était trop désagréable, elle avait fait en sorte d'avoir un fourreau mince et robuste qui pourrai se glisser dans sa botte. C'est la raison pour laquelle elle ne s'en sert pas pour combattre , elle n'a pas une grand porté avec . Elle trouva donc un endroit pour mettre son pied le temps de défaire les boucles métalliques de ses bottes. Une fois faite elle la retira pour tenté de détacher le fourreau trop solidement attacher. Elle n'avait pas souvenir de l'avoir changer une fois depuis qu'elle avait demander ce genre de botte. Elle réussi tout de même à enlever le tout rapidement.

Est-ce une bonne idée de lui avoir demander de l'aide ? Larme était coincé, mais il avait décider de se servir de la manière force ce qui brisa son fourreau...quoi qu'a mieux y pensé à quoi sa lui aurai servis de garder ce fourreau si elle ne peut plus s'en servir?

Silencieuse elle le suivit dans l'autre partis de sa petite entreprise. Son regard quelque peu curieux regarda un peu partout autour d'elle de manière discrète. C'était la première fois qu'elle y mettait les pieds, elle n'avait jamais vraiment imaginer ce que pouvait avoir l'aire ce genre de boutique. Ce qui lui sert d'arme viennent tous de son grand père ou même de Carl quand durant ses voyages il trouve une jouet léger que Callista pourrai facilement manier et cacher, comme cette épée qu'elle à toujours à la taille qui viens d'on ne sait trop ou.

-J'ai du temps.

Elle lui souris tout en s'assoyant sur un tabouret un peu à reculons pour pouvoir mettre son talon sur le cercle. Une fois le fourreau trouver il fallait que je derniers entre dans la botte et je lui fasse pas mal.

-Faut croire que je n'aime pas quand les choses son trop simple. Faites vous vous même vos fourreau ? Les chances qu'un puisse entré dans à la même place que l'autre sont plutôt faible.

Tout en parlant elle défis les lanières de sa botte de nouveau, les tirants au maximum pour laisser le plus de jeux possible pour placer le nouveau lit de son poignard. Elle remit ses épaisses boucles brune vers l'arriver tout en levant la tête pour avoir la vue dégager. Une fois la botte enlever elle enlever la saleté du dessous d'un coup de main et le plaça sur sa cuisse attendant de pouvoir regarder si tout marchait. S'il voulait voir par lui même il n'avait qu'a se servir.

Messages : 30 Date d'inscription : 24/08/2009

Elle affirma avoir du temps et s'assit pour retirer sa botte. Elle l'ôta et se mit a triturer les lanières pour les adapter a la nouvelle version de l'arme. Un système que je connaissait bien, l'utilisant moi aussi pour effectuer mes contrats. La seule chose qui m'étonnait, c'était qu'une femme soit autant armé. Un poignard assez long pour atteindre le cœur dans la botte, et une épée fine et discrète qu'on peut dissimuler sous sa cape. La seule chose, c'est quand on s'assoit, si l'on y prend pas garde, l'épée se voit car la cape n'épouse pas les formes arrondis du corps. Machinalement, je fixai les lanières d'attache du nouveau fourreau, que j'adapterai a sa botte.

-Oui. Ici, on forge le métal, et on taille le bois. Ils font juste un tour chez le tanneur pour qu'ils soient entourer de cuir, afin d'offrir une protection supplémentaire. C'est une armurerie, pas une simple forge. On fabrique les armes a quatre vingt dix pour cent environ.

On taille le bois des flèches, on forge les pointes, et seul l'empennage est fait par un autre. Et c'est a peu près pareil pour tout. Il ne font qu'un tour chez des collaborateur pour les finitions. Je m'approchai de la jeune femme et pris la botte pour le mettre a l'intérieur. Il prenait un peu plus de place que l'ancien.

-Ça risque de vous faire bizarre un moment... Comme une petite gêne, mais vous finirez pas vous y habituer. Un peu comme le poids de l'arme, légèrement différent. C'est pas un handicap, c'est juste le temps que vous vous y fassiez.

Je lui retendis l'ensemble, pour qu'elle l'essaie. Puis je m'écartai un peu, pour avoir une distance de sécurité, par un vieux réflexe.

-Pardonnez ma curiosité, mais... Quelle femme a besoin d'un si grand arsenal pour protéger sa vertu ? Autant d'acier, c'est plutôt rare...

Je ne souriais pas. J'avais déjà vu des femmes armée d'un simple couteau, par temps de crise ou de danger, pour se protéger des agression ou des viols. Même si le plus souvent ça évitait pas grand chose, mais passons. Les autres femmes qui étaient plus armé que ça, souvent, ce sont des tueuses. Elles sont pas fréquentes, mais il en existe quelques unes.

Messages : 55 Date d'inscription : 04/09/2009

Le poids de l'arme elle le trouvait plus que légèrement différent et n'aimait pas trop l'idée qu'elle soit plus lourde, elle qui se fit toujours plus sur son agilité que sa force de frappe, à coup sur elle allait être ralentis. Qu'est ce qu'elle pouvait faire pour ça de toute façon. Suffirait qu'elle s'amuser comme petite quand elle à trouver la première arme de son père... Et oui, son père avait une arme! Elle était entrain de pourrir dans le fond du tiroir, mais elle était toujours la !

Cette question elle devait s'y attendre comme elle avait décider de prendre une posistion qui allait jouer sur la visibilité de son arme.. Elle décida tout simplement d'y répondre avec la vérité. Sa serai stupide de raconté une histoire.

-J'ai une arme sur moi chaque nuit. Normalement je préfère mon poignard, c'est toujours plus aiser de le cacher, mais comme je ne l'ai pas je n'ai pas pu faire autrement que de prendre cette épée... Disons que depuis toute jeune je n'ai pas ce gène qui me tille dans la tête pour me dire que je suis entrain de me mettre dans le pétrin.

Un petit sourire timide passa sur son visage l'espace d'une seconde. Ce n'était pas très subtile de se promené toujours armée, mais... Ce qu'elle venait de lui dire n'était que la vérité. Au nombre de fois ou elle réussi à dépouiller des ivrognes aux cartes et qu'ils finissent vert de colère.... Enfin passons.

Le fourreau était de nouveau dans la botte. Elle regarda la nouvelle pièce tout en essayant de se rappeler la forme de l'ancien. À l'oeil c'était beaucoup plus difficile à savoir qu'au toucher comme elle est beaucoup plus habituer de le sentir. Toujours dans cette position qui commençait à manquer un peu trop de confort elle remit sa botte . Une petite grimace d'inconfort fis retrousser son petit nez et elle n'avait pas encore tenté de marcher. La strapp était à son plus lousse et le haut de fourreau lui entrait quand même dans le mollet.

Seriez-vous capable de faire quelque chose pour ça?

Elle défis les deux premières attaches pour enlever la pression. Il n'était pas question qu'elle change de botte ! Pour une fois que ses bottes lui plaisait....

Messages : 30 Date d'inscription : 24/08/2009

A ce que je pouvais comprendre, elle sortait souvent le soir. Était-ce genre de femme, un peu téméraire, et que l'on retrouve quelques fois un matin dans un caniveau, au mieux morte, au pire violée et tabassé ? Elle se défend certainement bien. Mais sera-ce éternellement la même chose... L'avenir d'une femme qui se prend pour un homme est rarement long. Elle enfila de nouveau sa botte et grimaça. Sa demande me tira un soupire, et je tendis la main pour qu'elle me passe sa botte une nouvelle fois.

-Je reviens...

Je repassa dans l'atelier, défis le cuir recouvrant le haut du fourreau, et commença a raboter le bois avec un bruit de raclement. Quand j'estimais que c'était bon, je repliait le cuir a l'intérieur et le fixa de nouveau a la botte avant de la lui rendre. Je ne voulais pas coller le cuir de nouveau, au cas où cela ne suffirait pas. Et encore heureux que j'avais une petite réserve de colle, pour les arcs.

-Essayez de nouveau, et dites moi si ça va. Pourrai-je jeter un coup d'œil a votre épée quand cette affaire sera réglé ? Juste une simple curiosité professionnelle.

Et ce n'était rien d'autre. Je voulais juste voir comment elle l'entretenait, et peut être découvrir quelques secrets de fabrications d'un autre maître forgeron. Chacun a ses techniques propres, et il y a toujours quelque chose a apprendre dans ce boulot, même si l'on es le meilleur de la région.

Messages : 55 Date d'inscription : 04/09/2009

Il pouvait bien soupiré autant qu'il voulait elle n'allait pas sortir avec un fourreau qui lui écrase le mollet au point de lui faire mal. Il lui redemanda sa botte. Elle la lui laissa puis le regarda s'éloigner d'elle pour qu'il reprenne son travaille. Bon elle se sentait un peu mal de le faire garder aussi tard, mais c'est lui qui décide de tout faire maintenant! Elle n'avait juste demander de trouver un moyen d'arranger le tout, elle n'avait pas dit quand, mais bon on ne pouvait pas dire que sa la dérangeait.

Quelque temps passa , elle passa curieusement son regard un peu partout dans la pièce sans bouger rien d'autre que sa tête. On pouvait y voir un peu n'importe quoi, comme elle n'est pas une experte elle ne porta pas de commentaire.

Quand Aaron revenu il lui demanda de remettre la botte et de voir son épée. Pour ce qui est de la botte elle la prit et la remit tout de suite serrant comme il le faut les attaches de sa botte. Une fois en place Jane se leva et fit quelque pas pour voir si elle sentait le fourreau. Oui elle le sentait, mais sa ne faisait pas mal c'était tout simplement plus imposant que le premier d'ici deux jours elle ne s'en rendra plus compte.

-En temps normal je n'aime pas qu'on touche à mes armes...

Il avait bien eu son poignard durant 2 (3??) jours, elle pouvait bien supporté qu'il regarde son épée. Aussi bien qu'il voit ce qui risque de lui traverser l'estomac ou de lui trancher la tête!... si elle se décide à le faire... Changeons de pensé....

Elle poussa avec son pousse sous le manche tordu de son épée pour la débarré et la sorti avec l'autre main. Celle qui était devenu libre resta pas loin du poignard, mais sa position avait tout de naturel, rien de sauvage près a dégainé pour attaquer en cas de besoin. Elle lui donna l'épée et recula de quelque pas pour mettre une bonne distance entre eu. On ne peut pas faire confiance en grand monde si jamais il était au courant qu'il y avait des contrats sur sa tête il y aurai des chances qu'il l'attaque. Après tout il la dit lui même...elle s'arme un peu trop, même si pour elle c'est dans sa nature.

-Avant que vous demandez, je ne sais pas exactement d'ou elle vient.

Messages : 30 Date d'inscription : 24/08/2009

Elle essaya de nouveau l'armature, et il semblerai qu'elle lui aille. Tant mieux. Mais j'allais devoir de nouveau l'embêter et lui faire retirer sa botte une nouvelle fois. Le cuir protecteur devait être recoller, ou sinon, il risquait de bloquer la sortie de la lame, ou pire, avec le temps, le bois pouvait se mettre a moisir plus vite, et le fourreau serait rapidement fichu. Mais elle me tendis son épée et s'écarta prudemment.

-Il faut que j'arrange quelques détails, vous pouvez retirer votre botte encore une fois ? S'il vous plait.

Pendant ce temps, je me mis a détailler la lame du regard. Correctement entretenue, assez bien aiguiser. Lame légère et fine, facilement maniable. Une arme faite pour la rapidité et les coups d'estoc. Une lame pour les coups de pointe précis, pas pour les coups de taille destiné a brisé les os et traverser un corps. Je m'écartai un peu et fit quelques moulinets pour tester sa légèreté et sa maniabilité. Je fis une moue appréciatrice. Après un nouveau coup d'œil, je la lui rendis.

-Belle arme.

Je repartit dans l'atelier et pris la colle a bois pour faire les finitions du fourreau, et lui rendis le tout, enfin.

-Voilà, l'affaire est réglée. Par contre, attendez un peu que la colle sèche.

Je me détournai d'elle et fit un peu de rangement parmi les étalages. Elle pouvait attendre ici que la colle sèche et remettre sa botte a ce moment là, ou repartir avec l'arme a la main, et fixer son fourreau une fois qu'il serai sec. Même si elle était lourdement armée, je ne craignez pas de lui tourner le dos. J'étais entourer d'arme, elle serai morte avant d'avoir fait quoi que ce soit.

Messages : 55 Date d'inscription : 04/09/2009

De nouveau elle du rendre sa botte et son arme pour que le forgeron finisse son travaille. Elle s'exécuta au moment ou il s'amusait à faire joujou avec son jouet. Elle était de nouveau assise sur le tabouret dans sa position presque confortable maintenant. Avec un peu de chance sa serai la dernière fois qu'elle allait devoir se mettre à jouer avec les strappes de sa botte. Sa devait avoir l'aire simple à lousser et resserré,mais sa demandait de la force dans le bout des doigts qui commençait à être légèrement engourdis.

Une fois enlever il reparti avec et elle reprit son arme. Elle ne se serai pas démunie des deux à la fois, même si ici le danger est moins grand pour elle que pour Aaron, enfin c'est ce qu'elle pense... C'est avec ce genre de penser qu'on fini embrocher ma belle !

Quand il revenu de nouveau près d'elle il lui dit d'attendre que sa sèche avant de remettre la botte. Bon il ne lui restait plus qu'a attendre un peu . Elle n'allait pas partir avec les main pleine et ne voulait plus vraiment rejouer avec les strapps en repartant d'ici . Elle resta donc inconfortablement assise sur le tabouret durant que lui rangeait. Et tout naturellement elle reprit la parole.

-Besoin d'un coup de main ?

Jane se leva tout en s'approchant de l'homme. Elle ne savait pas ce qu'elle cherchait en demandant ça. Son naturel aimant reprenait le dessus sur ses questionnements pour le travaille qu'elle devra bientôt effectuer. Si elle n'en avait pas sa serai fait depuis longtemps. Elle n'est pas une tueuse. Peu-être que les coups porté on fait en sorte qu'une personne en meurt, mais ça elle n'est pas au courant et préfère ne pas l'être... Voilà la preuve que l'argent pouvait pas tout acheté. Et si au moins il était désagréable sa lui donnerai une bonne raison de faire sa tête forte comme d'habitude ! C'est toujours avec cette habitude qu'elle réussi à faire sortir le monde de ses gonds. Une fois près de l'homme, mais toujours avec une distance raisonnable , elle attendit qu'il sa réponse tout en regardant ce qu'il faisait.

Messages : 30 Date d'inscription : 24/08/2009

La seule chose qui me tardait, c'est qu'elle parte. J'avais deux trois petites choses a faire, et je ne tenais pas a avoir quelqu'un dans les pattes. Mais apparemment, ce serai trop lui en demander. Elle se proposa même de m'aider. Je me tournai vers elle en faisant un petit sourire.

-Non merci, je replace juste deux ou trois trucs pour m'occuper les mains.

Une idée me vint.

-J'ai une question. Vous ne connaîtriez pas une personne qui serai capable de travailler ici en tant que vendeur ? Mes employé et moi, on s'occupe surtout de la fabrication, et quand on forge, c'est plutôt délicat de tout planter pour aller servir quelqu'un. Le métal n'aime pas attendre.

Après tout, elle travaille dans le centre ville, dans une boutique somme toute assez fréquenté, elle était assez bien placé pour connaître un peu les gens du coin, et pourquoi pas un jeune adulte qui cherche un premier travaille, ou un vieil actif qui a été obligé de partir de son ancien travaille. Au pire, elle pourrai demander a son père. Et oui, j'avais joué les curieux dans le week end. Je n'avais pas pu me retenir d'aller voir où vivait la jeune femme et observer discrètement. Une femme autant armé m'avait intrigué.

Messages : 55 Date d'inscription : 04/09/2009

Si elle connaissait quelqu'un pour travailler à la vente ? Elle se mit à pensé un moment pour trouver une réponse, mais ne voyait personne. Il faut dire qu'elle connait le monde de nom, mais sa ne va pas plus loin. Elle ne s'intéresse pas à la vie priver des autres et ne sort pas le soir prendre un verre avec eux. Quand elle rencontre du monde c'est du pure hasard et sans lendemain...et la je ne parle pas d'histoire de sexe, juste une fréquentation de super ami d'un soir.

-Je ne connais pas grand monde, mais au besoin je pourrai passer le mot si j'entends quelque chose.

Elle regarda son fourreau qui séchait tout en soupirant. Elle n'avait plus rien a faire ici elle le sentait. Souhaitons que tout se passe rapidement.

''Et qu'avant de partir il me donne une bonne raison d'accepter....''

Elle se mordilla la lèvres inférieure tout en reportant son attention sur le forgerons qui continuait de jouer avec ses œuvres.

-Dans combien de temps la colle va suffisamment avoir prit pour que je replace le tout et parte avant que votre femme s'inquiète trop.

Le commanditaire n'avait pas laisser de détail la dessus, enfin il n'avait presque rien laisser autre que le nom de forgerons, son métier, le fait qu'il avait déjà servis dans l'armer et aussi parler un peu de la raison qui le pousse à vouloir détruire cet homme qu'elle croyait sans histoire explosive. Et elle sait qu'elle ne pourrait pas tuer un homme avec une famille. Comme il y a des vides partout aussi bien de chercher elle même ce dont elle a besoin pour choisir.

Messages : 30 Date d'inscription : 24/08/2009

Elle ne connaissait personne. Dommage, j'aurai essayé. Je haussai les épaules. J'irai mettre une annonce sur le panneau d'affichage du quartier, et pourquoi pas glisser une annonce dans la gazette de la cité. Quoi qu'il en soit, je ne pouvais pas ranger éternellement, et je fus obliger d'arrêter. Ne sachant trop quoi faire, je me dirigeai vers la botte et testa le collage, comme elle me demandais combien de temps elle devait rester, ça me fournissait une bonne raison.

-Hum, encore un petit peu, dix minutes. Un quart d'heure tout au plus. Et je n'ai pas de femme.

Et avant qu'elle ai pu dire quoi que ce soit, je précisai.

-Et au cas ou, je n'en cherche pas non plus...

On sait jamais, autant prendre des précautions. Une femme aurai empêcher mon travail. Autant le visible que l'invisible. Je me dirigeai vers le comptoir et me mis derrière et discrètement, je pris la dague qui était fixé dessous le plateau, et la fixa dans la gaine prévue a cet effet dans ma manche, fixé par des lanières de cuirs le long de mon avant bras. Très pratique pour dégainé rapidement.

Messages : 55 Date d'inscription : 04/09/2009

Sa y est un malaise de moins. Une information à complètement barré. Il n'avais rien d'écrit tout simplement parce qu'il n'avait rien à écrire sur ce sujet. Il enchaina rapidement sur le fait qu'il ne voulait pas de femme... Bon, maintenant elle aurait l'aire de quoi si elle décidait de partir maintenant ? De la jeune femme amoureuse qui viens de se prendre une claque en plein visage ? Plutôt mourir que de jouer la femme offenser. Surtout quand ce n'est pas le but rechercher.

Puis il continua de jouer avec ses œuvres... De nouveau elle mordilla, mais cette fois ce fut l'intérieure de la joue.

-Je ne suis pas ici pour draguer... Si c'est ce que vous pensez vous manquer de professionnalisme.

Une femme vraiment armé c'est rare mais sa arrive et sa risque d'être de plus en plus courant dans les décennies a venir. Il ne fallait pas qu'il commencer à pensé de cette manière à chaque fois. Elle soupira tout en retournant prendre sa botte. Finalement elle ira attendre dehors pour attendre que tout sèche. Comme dit un peu plus tôt elle n'aime pas avoir les mains peine. Surtout dans se cartier quand le soleil est tomber et que les ivrognes sente le besoin de prendre l'aire... Ceux qu'elle provoque aime bien ce moment pour continuer le jeu qui les ridiculises souvent.

-Je vais vous laissez. Bonne nuit.

Elle avait remarquer une fontaine pas loin d'ici en s'envenant. Elle pourra laisser le temps à son truc de devenir sec sans l'avoir dans les mains. Et prendre un peu d'aire frais ne fait jamais de mal à personne...Surtout avec l'odeur qui couvre les mures de cette pièce.

Elle quitta donc la pièce arme en main, faisant attention de ne pas toucher au cuire qui a été recoller pour risquer de le déplacer et de devoir revenir pour tout recommencer.

Messages : 30 Date d'inscription : 24/08/2009

Je m'abstins de toute réponse quand a la réflexion sur mon manque de professionnalisme. Penser ça n'est pas un signe de manque de professionnalisme, au contraire, c'est une preuve de professionnalisme. Je ne tiens pas a ce qu'elle pense une seule seconde que nos relations puissent être autrement que celle d'un vendeur a un client. Ce n'est pas le genre de personnes que je tiens a voir faire parti de mes amis.

-Bonne nuit a vous aussi.

Puisqu'elle voulait partir, je n'allais pas la retenir. Je repris le chemin de l'atelier, et je vis un reflet sur la table. Deux pièces d'argent.

"Eh merde!"

Voila que j'avais oublié de lui rendre l'argent en trop. Subir la charité et la générosité des autres, je ne supporte pas. Et devoir de l'argent a quelqu'un encore moins. Je pris les deux pièces, quelques outils de travail, par précaution, et souffla les lanternes. La lueur de la forge s'était dissipé puisque je n'en avais pas eu besoin depuis la fermeture de la boutique. Je ferma la porte et parti dans les rues en direction de la demeure des Wildwood. J'étais certain de la trouver sur le chemin. Marché avec une botte en moins est assez désagréable.

Je la vis enfin, après quelques minutes passé a marché, évitant les zones trop lumineuse par habitude plus que part envie. Elle était près de la fontaine. Je pris la précaution d'observer les environs avant de m'approcher. Le bruit de l'eau m'empêcherai d'entendre les petits indice d'une présence discrète. On entendrai venir quelqu'un qui ne fait pas attention, mais un autre assassin... Je m'approcha d'elle en signalant ma présence de façon a ce qu'elle ne soit pas surprise.

-Vous avez oublié votre argent, et je ne compte pas le garder. Faites en ce que vous voulez, mais je le refuse.

Messages : 55 Date d'inscription : 04/09/2009

Jane prit place sur le bord de la fontaine. Rien ne se reflétait sur l'eau, le ciel était couvert d'épais nuage, demain matin sera une matinée pluvieuse, souhaitons que sa ne dure pas trop, c'est dificille de vendre lorsque les marchants n'ose pas mettre le gros orteil à l'extérieur. Elle soupira tout en sortant une ficelle d'une poche camouflé sous sa cape puis se mit à faire des formes. C'était une de ses manières de tuer le temps quand elle n'avait rien d'autre à faire que d'attendre.

Un petit moment passa et elle avait réussi à se prendre trois doigts dans les nœuds. Un peu rageuse elle tira un bon coup pour se déprendre, la corde se prisa et un petit sacre quitta sa bouche. Elle n'arrivait pas à se concentre... Cette histoire de contrat prenait toute la place dans sa tête ! Et si elle arrachait celle du commanditaire à la place de celle du forgerons ? Ça serai rapidement réglé et il y aurai moins de remord à tuer un homme qui veut en faire disparaître un autre.

Des bruits se fit entendre elle releva la tête avec un de ses doigts sur les lèvres pour essayer de faire enlever la douleur créée par un brulure que lui avait fait la ficelle. Sa ne servait à rien, mais bon …. Aaron apparue devant elle avec les pièces qu'elle avait laisser sur la table. Elle regarda les pièces qu'il voulait lui rendre tout en enlevant son doigts pour bien se faire entendre elle prit la parole.

-Ce n'est pas le mien.

Elle lui avait donner c'était donc plus a elle. Croyant que l'ignoré le ferai repartir elle reprit ce qui restait de la ficelle pour essayer de réparé son erreur. Malheureusement il ne semblait pas vraiment parti pour filer en gardant l'argent.

''Tu ne peux pas partir comme tout le monde et me foutre la paix un peu ! J'ai que toi dans ma tête depuis près d'une semaine! Sacre moi patience physiquement a défaut de pouvoir quitter mes pensées!''

Elle se retenu de lui dire à voix haute question de ne pas lui montré qu'elle voulait autre chose de lui. Il manquerai plus qu'il l'affronte lui même la forçant à le tuer pour rester ….vivante.... Tien en v'la une idée , mais a mettre a exécution seulement avec les armes approprier.

Messages : 30 Date d'inscription : 24/08/2009

Elle refusa l'argent, je haussa des épaules avec un air indifférent et le lâcha sur le sol.

-C'est pas le mien non plus.

J'allais repartir sans rien ajouté quand une bande de tire laine des quartiers mal famé surgit d'une rue adjacente. Ils étaient six, et pour eux, un couple bavardant près d'une fontaine, c'était un petit couple d'amoureux qui fricote loin du regard des parents. Et s'ils s'amusent a jeter des pièces d'argent au sol, c'est certainement qu'ils en ont a pas savoir quoi faire. Ni l'un ni l'autre n'étais vrai, mais ils en savaient rien. Je tourna le visage vers eux et les observa. L'un des plus jeunes fronça les sourcils en me voyant, comme s'il me reconnaissait. Il voulu murmurer quelque chose au plus vieux, le chef certainement, mais celui ci le fit taire d'une baffe.

Comme j'avais déjà travaillé pour la pègre locale, et que c'est elle qui s'occupe de monter les petits groupes qui pillent les gens, ce n'étais pas vraiment étonnant qu'il me reconnaisse. Dommage pour eux, ils auraient mieux fait d'écouté le jeune. Ce qui allait se passé, c'est qu'ils essayeraient de s'en prendre a nous. Et je serai obligé de leur faire du mal.

-Vous voyez ce qui approche ? Ils partiront pas sans une bonne raclé, donc si vous vous en sentez capable, je veux bien vous donner un coup de main. Sinon, vous vous reculez de cinq mètres, et vous attendez. A vous de voir, mais si vous vous mettez dans mes pieds...

La menace était voilée, volontairement. Ça laisse la place a l'imagination. Et quand on est menacé, l'imagination va souvent très loin. Une de mes mains glissa dans le bas de mon dos, discrètement, et défis les liens qui maintenaient une dague en place, le long de ma colonne vertébrale. Assez peu pratique pour s'accroupir ou se pencher en arrière, mais c'est celle que j'utilise en premier le plus souvent. La gaine étant souple, lorsqu'elle est vide, elle ne gêne pas mes mouvements.

Messages : 55 Date d'inscription : 04/09/2009

Le son de l'argent qui tombe au sol se fit entendre. Jane par curiosité regarder les pièces de monnaies sans propriétaire puis regarda de nouveau le forgeron barbue. Elle le fixa sans rien dire. Il n'y avait rien de plus à faire. Il était venu pour mettre de l'argent au sol, et bien qu'il reparte, il n'avait pas envie de continuer la dessus. Elle allait se remette sur son jeu de ficelle quand elle fut attiré par la même chose qui fit tournée la tête du forgerons. Un petit groupe venait d'apparaitre. Rapidement le barbue reprit la parole.

-Vous voulez rire ? Six contre un... C'est complètement fou.

Elle remit sa botte rapidement, mais comme il le fallait puis se leva. Elle n'avait pas trop envi de resté la dans ce genre de situation. Normalement elle serai parti devant un si grand nombre, mais la curiosité la saisit. Il avait en tête de les combattre, aussi bien voir comment il bougeait de cette manière elle serait à quoi s'en tenir quand son tour viendra de se battre contre lui.

- J'agirai quand je verrai que je ne peux faire autrement. Et n'ayez crainte, je serai capable de me tenir loin de votre porté.

Elle se tassa un peu plus loin. Aaron était son contrat, elle ne le laissera pas mourir de la main d'un de ses hommes, mais elle ne voulait pas plus en affronté plus de deux à la fois et encore la c'est limite il faut que l'ivresse soit forte pour qu'elle sent tire sans trop de problème, l'alcool fait faire des erreurs aux hommes qui ont tout dans les bras et rien dans la tête.

Une fois assez loin elle passa sa main toujours sous sa cape pour une dégainé croiser si elle en avait besoin. Jusqu'à ce qu'elle est besoin de se servir de son arme, elle préférait faire croire qu'elle n'a rien d'autre que ses ongles pour se défendre. Lire la surprise dans leur yeux est si amusante !

Les hommes continuaient à s'approcher, le regard de Jane passait de Aaron au groupe de personne. Sa main commençait à trembler légèrement. Sa lui faisait toujours cette effet quand elle sentait qu'elle allait devoir se servir de son arme. C'était un parfait mélange entre la peur et l'excitation.

Messages : 30 Date d'inscription : 24/08/2009

Complètement fou ? Mouais, peut être bien. Mais qu'est ce que la folie ? Bonne question, mais j'ai toujours pas de réponses. Quoi qu'il en soit, elle m'assura qu'elle se tiendrai a distance, et qu'elle n'interviendrai qu'en cas de nécessité absolue. Tant mieux! C'est une des raisons qui font que je refuse systématiquement les travaux de groupe, ou les collaborations. Dans ce boulot, je suis excellent seul. Les autres veulent bien faire, et ils font rien de plus que m'emmerder.

-Bien.

Je me détourna d'elle et fit face aux hommes. Ils s'approchèrent, avec un air assuré, mais un peu étonner. Un homme seul qui leur fait face, ils n'ont pas l'occasion de voir ça souvent. La main dans mon dos fit un arc de cercle autour de mon corps, et un éclat argenté tourbillonnant fila dans l'air. La dague vit sa course arrêté par un genou. Le cartilage se brisa dans un bruit de craquelure et de gargouillis étrange. Le reste de la bande avait a peine eu le temps de comprendre ce qui s'était passé, que j'étais déjà sur eux. J'avais tiré une autre dague de ma manche, et je me sentait a l'aise au milieu du combat. Je passai de corps en corps, pivotant, frappant de mes mains, ou de mon arme, récupérant celle fiché dans le genou de l'homme a terre.

Je ne voulais pas les tuer, juste leur faire mal et leur faire peur. La plupart d'entre eux serai amoché a vie, comme le premier que j'avais touché, qui aurai un handicap a la jambe. Certains survivraient une semaine, qui leur paraitra très longue. D'abord la douleur, puis la fièvre, le chaud, le froid, les illusions, la folie, et enfin la mort. Il vaut mieux mourir d'un coup que par une plaie qui s'infecte. L'un des hommes s'éloigna en direction de Callista, mais j'étais aux prise avec un malin qui avait eu l'idée de tirer un petit couteau. Son poignet se brisa quand je le tordis, et le coutelas tomba avec trois doigts sur le sol. Pour moi, c'était terminer. La débandade se fit, et les hommes partirent comme il le purent. Je me tournai vers Callista, ne sachant si j'allais la voir encore en vie.

Messages : 55 Date d'inscription : 04/09/2009

Le regard de Callista et river sur le petit groupe de corps qui dansait. Aaron était l'effrayant meneur. Il savait se battre... Chose qui ne l'étonna pas dutout comme il travaillait dans les armes et avait fait de son corps une arme pour survire durant le début de sa vie... mais elle ne s'attendait pas à une telle vitesse et a une telle précisions... Il avait autre chose qu'un soldat en lui... Elle n'eut pas plus de temps à lui consacré...

Pouvons nous avoir plus décevant comme adversaire ? Un homme se croyant plus intelligent que les autre se détacha du groupe quand Aaron commença son massacre pour s'occuper de Jane. Elle le laissa venir à lui, toujours la main tremblante. Il la regardait avec le petit sourire de celui qui pense déjà avoir le dessus sur la situation. L'homme est loin et occuper avec cinq de ses amis, jamais il n'aurait le temps de venir s'occuper de la femme.

Quand il fut assez près son sourire s'effaca. La main tremblante de Jane saisi le poigner de son arme et elle dégaina rapidement en croiser comme elle aimait le faire. Tout en dégainant elle lui fait une belle cicatrice qui suivait le mouvement de l'épée partant du menton au front en diagonale. Il hurla un mot qui fut étouffer par ses mains qui se colla rapidement à son visage. Il sorti un poignard de son pantalon et se mit à frapper dans le vide pensant être assez rapide pour l'atteindre. Il faillit l'avoir , mais elle évita de justesse son troisième coups qui ne fit que lui poignarder la cape. Il manqua trébucher elle saisit ce moment pour lui mettre la pointe de sa larme sur les futurs enfant du voyoux.

-Laisse moi ou tu n'arrivera plus jamais à te servir de sa.

L'homme le regarda le visage remplis de sang et le regard ivre de colère. Il grinça des dents. On ne sait toujours pas ce qui a passer par la tête de l'homme , mais il décida d'attaquer quand même. Sans attendre elle enfonça la lame entre une couille et la cuisse de l'homme ce qui lui arracha un son qu'aucun humain ni animal seraient capable de reproduire.

''Oups, mal viser...''

-Je t'avais prévenu!

Au loin Aaron était entrain de finir de jouer avec les cinq hommes... CINQ! En si peu de temps... Elle n'aimait pas du tout ce qu'elle voyait en se moment. L'homme qui était en crevette au sol lui saisit la jambe. Tout en sursautant elle lui donna un coup de pied sur le nez puis se tassa à bonne distance de tout les hommes qui se trouvait ici.

Messages : 30 Date d'inscription : 24/08/2009

Avec le cri que j'avais pu entendre, je pensais que Callista s'en était bien tiré. Deux des hommes qui pouvaient encore bouger a peu près ramassèrent celui près de la jeune femme et partirent dans les rues sombre, surement pour gagner un de leurs repaires. Quoi qu'il en soit, a part quelques bouts de vêtements, de peau, et les trois doigts, la place était déserte. Et le sol a certains endroits était boueux, a cause du sang. Je m'accroupis et essuya grossièrement les lames sur le sol avant de les ranger.

-Vous n'êtes pas blessé ?

Autant essayé de faire semblant de me soucier d'elle. Et couvrir mes arrières.

-Ils ont fait une erreur d'estimation. Un ancien soldat, forgeron qui plus est, c'est une donné a ne pas sous estimé, sans vouloir me vanter.

D'un certain point de vue, c'est vrai. Les leçons de la guerre restent, et en tant que forgeron, il faut s'assurer que les armes qu'on forge sont idéales. Sinon, on fini par vendre de la qualité médiocre. Et c'est sans compté l'entrainement physique nécéssaire pour forger le métal. Quoi qu'il en soit, il voulait juste protégé son secret.

-Et a ce que j'ai pu comprendre, celui qui s'en est pris a vous a fait la même erreur une nouvelle fois en vous sous estimant...

Messages : 55 Date d'inscription : 04/09/2009

Quand il lui demanda si elle allait bien elle ne fit qu'un geste de tête pour lui répondre qu'elle n'avait rien de casser. Elle était toujours un peu troublé par ce qu'elle venait de voir... Ils avaient demander a une femme de faire le salle boulot parce que ça serai plus facile de l'approcher... suffisait de le séduire et bang ! Le tour est jouer.... mais la séduction ne fait pas parti de ce qu'est Jane ... Les salauds allaient le lui payer.

Elle le laissa parler sans le quitter des yeux même si ses pensés étaient vagabonde. Il se mit à lui expliquer l'erreur d'estimation fait par les voyous. Elle ne savait pas trop quoi pensé de ce qu'il venait de dire. Il avait surement raison, un bon soldat entrainé pouvait faire des miracles sur un champs de bataille, mais qu'est ce qu'il aurait bien pu faire pour mettre en colère le commanditaire ?

-Je suis malheureusement toujours trop souvent sous estimé...

Elle soupira tout en sortant d'une de ses poches magique ce qui ressemblait à un mouchoir. Une fois en main, elle le prit pour essuyer le peu de sang qui avait tacher sa si jolie lame. Quand le sang fut tout enlever elle remit son été à sa place. Quand elle fut en place Jane remarqua que sa main tremblait toujours et de manière peu habituel, normalement quand l'adversaire c'est enfuit elle saute de joie sa victoire, elle ne reste pas la à tremblé comme une feuille. Question de faire passer les tremblements elle mit sa main sur sa poitrine et appuya avec l'autre. Sa allait surement rien changer, mais sa allait diminuer la désagréable sensation de vibration.

-Vous... vous êtes plutôt impressionnant. Je ne vous ai même pas vu partir. J'ai encore du chemin à faire...

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