Dilem [M. Darkthorn]

Messages : 55 Date d'inscription : 04/09/2009

''Qu'est ce que je fais avec ça?''

Elle était dans sa chambre, le soleil commençait à reprendre sa monté, toute la nuit elle avait passer son temps à lire et à pensé à cette demande tout en pesant les pours et les contres. Elle n'avait pas trouver de raison pour le faire et encore moins pour le refuser. Sa famille ne roule pas sur l'or, mais ils pouvaient avoir mieux. Suffisait que la commande pour la palais soit annulé pour que la faillite les rattrapes et il n'y a pas plus changeant que les gent de la cour avec leur caprice pour un si ou un ça... Elle soupira tout en se prenant la tête entre les mains.

Henry : Callista, je vais ouvrir, j'aimerai bien vous voir arriver bientôt c'est aujourd'hui que Carl arrive avec ses nouvelles découverte!

Callista: J'arrive.

Rapidement elle se leva puis en quelque seconde passa une robe blanche tout ce qui à de plus simple. Normalement elle favorisera un pantalon pour plus de liberté, mais bon … quand elle travaillait pour son père mieux fallait qu'elle soit mignonne et silencieuse... Elle allait quitter sa chambre, mais ne réussi pas faire autrement que de retournée dans son armoire pour troquer sa robe contre un pantalon qu'elle cachera par un long tablier qui se referme dans le dos. Si on ne portait pas attention à ses jambes on pouvait confondre ses vêtements.... Avec un peu de chance Henry ne sera pas trop décourager...

5h30 du matin...Elle se retrouvait dans la partie fruiterie de leur petite maison. Le père était un peu paranoïaque, il ne voulait pas laisser son gagne pain sans surveillance alors il avait en sorte de ne jamais quitter l'endroit ou il travaillait. Le boulanger avait déjà ouvert ,une bonne odeur de pain frais lui caressa les narines ce qui lui donna l'eau à la bouche. Enfin... sans plus attendre elle se mit au travaille sortant les paniers de pomme , orange , pomme de terre et tout autre nourriture qui leur restait. Heureusement que Carl arrivait bientôt, d'ici midi tout allait être de nouveau complet et son père allait avoir une bonne rentré en allant porté des nouveaux fruits et légumes frais à leur plus grand client!

Le journée passa rapidement les ventes avait été bonne. Il était passer 18 heures le marché fermait peu à peu, y comprit de stand des Wildwood. Toute la journée elle s'était pauser les mêmes questions sans arrêt. Elle avait besoin de faire un tour en ville question de se changer les idées. Une fois tout ranger elle enleva se stupide tablier ce qui lui redonna sa liberté, passa une campe de velours sur ses épaules pour se protéger du froid qui grandissait d'heure en heure puis quitta sa demeure en silence.

Elle passa dans les rues de la ville ou elle pouvait voir les marchants fermer boutique, elle ne leur porta pas vraiment attention jusqu'à se qu'un bruit de métal frappant un autre bout de métal se fasse entendre. Elle s'arrêta et remarqua qu'elle avait marcher durant plus longtemps qu'elle ne l'avait voulu, ses pas l'avait conduite à la forge de celui qui occupait ses pensés. Il n'était pas supposer être plus loin ? C'est les risques quand on part dans nos pensés! On se fait conduire sans le vouloir ou elles vont... Elle s'arrêta quelques seconde devant la forge. Dans le fond ou une lumière chaude s'échappait par l'immense porte elle aperçus le forgerons entrain de travailler quelque chose avec son imposante masse. Le voir dans cette état arrêta ses pensées, il était visiblement plus puissant qu'elle, surtout avec un métier de la sorte on ne peu pas avoir de petit bras ! Jamais elle ne pourrai s'en sortir.

'' Ne fait pas la froussarde ! Il a surement travailler toute la journée, ses muscles sont gonflés par l'effort, c'est une manière naturel pour impressionner. En se moment il doit avoir les bras presque mort, mais ne prend pas de chance.''

Elle n'aimait pas quand ses pensés s'amusait à se contredire et à prendre trop de place dans sa tête! C'est probablement une des plus grandes torture inutile que se donne les humains! Et ne pense pas de la sorte ! Ton inquiétude va se faire sentir petite Jane.

''Allez, va-t-en ! N'attire pas l'attention et reviens quand t'aura au moins ton arcbelette sur toi ! De loin c'est toujours moins risquer !''

Pourquoi n'écoutons nous jamais cette petite voix dans notre tête qui veut nous éloigner du danger? Jane devrait apprendre à y faire attention, ce n'est pas parce qu'elle se fiche de tout ce qui peut se passer qu'elle doit être imprudent. Oui elle est forte agile et vive, mais ce n'est pas pour autant qu'elle n'a jamais été battue. Souvent elle c'est retrouver avec la lèvre fendu et l'oeil gonflé par chance elle n'avait pas encore eu le nez casser, mais elle doit faire gaffe.

A peine 10 secondes avait passer entre le moment ou elle c'était arrêter et le moment ou elle décida de se remettre en marche. Elle connaissait de nom du forgerons, la ville est grande, mais les commerçant du même coin se connaisse tous de réputation ou d'affaire.Quelque fois l'homme avait passer pour faire ses achats, quand elle était présente, mais leur échange verbale n'ont pas dépasser les phrases professionnelles du genre '' Sa vous fait tel montant , au revoir à la prochaine! '' Elle avait donc aucune raison d'aller le saluer...Puis une idée lui passa par la tête. N'avait-elle pas créée une faiblesses dans son poignard de botte la semaine dernière ? Sa lui donnerai sa première approche.

Plus elle avançait vers la forcerie et plus les coups que donnait l'homme sur le métal lui faisait vibré le cerveau ce qui lui donna le tique de cligner des yeux à chaque coups. Elle resta dans le cadrage de la porte ouverte, elle ne voulait pas trop s'approcher de l'homme au cas ou il serait du genre à frapper quand il est surprit. Une vingtaine de seconde avait passer depuis qu'elle était arrêter dans le cadre de porte, elle le regardait faire attendant qu'il sorte de sa bulle ou change d'étape de création. Pour un homme dit d'expérience c'est un peu étrange qu'il ne semble pas avoir remarquer la présence de Callista près de lui. Est ce que ce qui est dit sur lui est une rumeurs tout simplement parce qu'il a l'aire imposant et sait créée de magnifique arme ? Des rumeurs c'est si rapidement exagéré, souvent ceux qui on l'aire d'être les plus dure son réalité des vrais tendre et elle parle d'expérience !

'

'Tu fais fausse route Jane.
Mais la ferme tu veux ?''

Dire qu'elle pourrai en finir la maintenant avec ce qui lui torture l'esprit. Malheureusement elle n'est pas traitre, elle ne tire pas dans le dos. De plus sa décision n'est pas arrêter, bientôt elle saura, elle à tout le temps qu'elle à besoin...enfin presque.

Messages : 30 Date d'inscription : 24/08/2009

La journée avait été assez tranquille. Pour une fois, je ne vais pas m'en plaindre.

Je m'étais lever tôt, comme a mon habitude. J'étais descendus du petit appartement où je vivais, juste au dessus de l'armurerie. Et comme toujours, j'avais allumer les fours, pour qu'ils soient assez chaud au moment où mes trois ouvriers allaient arriver. Ce petit acte faisait gagner un temps précieux a toute l'entreprise. Ayant encore un peu de temps devant moi, l'aube étant a peine naissante, je mis quelques tige de métal dans les braises et les flammes, pour amollir un peu le métal. Et je rangea un peu, la veille, j'avais eu d'autres occupations. Puis tranquillement, en attendant que la ville s'éveille, je pris un petit déjeuné. Quelques fruits seulement.

Enfin, mes travailleurs montrèrent leur nez, l'un après l'autre, et se mirent a travailler, comme tout les jours, après quelques paroles de bon jour amicale. Les coups de marteau, les bruits de vents du soufflet pour entretenir le feu, les raclements du ciseau a bois ou les coups de scie commencèrent a retentir. La chaleur grimpa rapidement, et l'odeur de bois et du métal en fusion se mélangea a celle de la sueur et du cuir brulé. La journée se passa comme toute les autres. Certains clients venaient et je devais interrompre mon travaille pour aller les voir. Ce qui me fit penser que je devrai former quelqu'un qui s'occupera uniquement de la réception et de la vente. Le métal demande beaucoup d'attention, contrairement au bois. J'eus même la chance d'avoir une commande pour un plastron d'apparat de la part d'un nobliaux. Quelque chose de léger qui ne protège pas vraiment, mais beau, et seulement pour les défilé.

Puis comme tout les autres jours, la journée se termina alors que le soleil était bas dans l'horizon. Mes hommes regagnèrent leurs maisons et leur famille, et je m'attardai près de la forge pour travaillé sur l'une des pièces particulières que je tenais a faire moi même, entièrement. Le tintement du marteau forgeant le métal était une douce musique, si habituelle, et pourtant si nouvelle a chaque fois. Je me laissait porté par la mélodie plus que par ce que je voyais. Chaque tintement est unique pour un expert en ferronnerie, et même sans voir le métal, on peut savoir si tout se passe bien ou non. Et le métal chauffé a blanc commençai a reprendre une teinte rouge orangé, il faudrait que je le repasse au feu. Je senti plus que je n'entendis la présence de quelqu'un. L'habitude avec les clients qui viennent alors que le bruit est au plus fort. Mais pourquoi un client viendrai alors que la boutique est supposer être fermée ? Etrange. Je fini de frapper un dernier coup et remis la tige de métal au feu avec de longues pince avant d'actionner le soufflet. Et enfin, je me tournai vers la personne. Une dame. Ce n'est pas rare, mais c'est loin d'être fréquent aussi.

-Mademoiselle. La boutique est fermé, mais est-ce que je peux quelque chose pour vous ?

Messages : 55 Date d'inscription : 04/09/2009

Plus le temps passait et plus Jane sentait la chaleur lui coller à la peau elle senti de la sueur de créer sur ses bras et dans son cou. La sensation était désagréable, mais comme elle n'a pas à être la indéfiniment elle n'allait pas se mettre à se plaire, de toute façons ce n'est pas son genre, surement trop orgueilleuse pour montré qu'elle se sent mal. Par chance elle ne travaillait pas dans ce genre d'endroit ! Comment les hommes dont pour aimé ce genre de métier ? C'est bien jolie aimé sculpté le métal, mais durant les grands chaleur estival ça doit être le pire four de la ville !

Il finit par se rendre compte de la présence de Jane. Bravo il était temps. Un peu plus et Callista était bonne pour avoir des fourmis dans les jambes. Il venait de lui annoncé que la boutique était fermé, rien d'étonnant la dedans et elle se doutait qu'il ne soit plus ouvert, mais bon ...elle est ici ce n'est pas le temps de perdre la face !

-C'est ce que j'ai crus comprendre en remarquant l'absence de lumière vers l'avant. Comme j'ai aperçu de la lumière à l'arrière j'ai pris le risque de venir vous dérangez. J'aurai besoin de vos service, j'aurai pu passer plus tôt, mais comme tout les boutiques ouvre et ferme à la même heures sa ne me donne pas vraiment le temps de s'occuper de mes besoin.

C'est un problème de la société, tout ferme tôt et personne à le temps d'aller faire leur course. Encore heureux que les Wildwood habite proche de boulanger et du boucher bien que le bouché ne soit pas une nécessité pour Callista qui à l'estomac trop facile pour manger de la viande, elle ne peut pas être forte sur tout les points !

-J'ai malheureusement eu un accident, mon poignard trop âgé n'a pas supporter ma dernière utilisation. Il m'est précieux , j'aimerai pas qu'il soit complètement fichu. Pensez-vous pouvoir y faire quelque chose ?

Elle tassa sa cape, un petit courant d'air passa en dessous ce qui la rafraichis un peu. Elle n'avait pas entré dans l'atelier pour garder un contact avec la fraicheur qui s'installait peu à peu dans la ville. Elle sorti larme de son étuis et le tendis au forgerons lame vers elle. L'objet était vieux et unique, si elle se souvenait bien il appartenait au père de sa mère il l'avait reçu pour service offert dans le pays ou il servait autre fois. C'est le seul souvenir qui lui reste du vieil homme.

Messages : 30 Date d'inscription : 24/08/2009

Quelle joie, j'avais a faire a une femme têtue. Autant écouté ce qu'elle avait a dire, sinon, elle allait me coller jusqu'à ce que je cède. Et j'ai franchement pas envie d'avoir a la subir bien longtemps. Je me retint de répondre que je me doutais que si elle venait ici, c'est qu'elle avait besoin de mes services. Je la voyais mal venir juste pour faire la visite. Lorsqu'elle écarta les pan de sa cape, je fus tout d'un coup très vigilant. Mes instinct me soufflaient d'être prudent quand quelqu'un tirait une arme. Sous des apparence tout a fait pacifique se cachent souvent des intentions dangereuses.

Mais elle se contenta de sortir l'arme, un poignard élégant, et me le tendis, la garde en avant. Je tendis prudemment la main et m'en saisit. Je fis tourner l'arme dans mes mains, l'observant sous toutes ses coutures. C'était une arme qui avait du vécu, et qui avait déjà gouter au sang. Une arme qui pouvait se révéler dangereuse dans de bonnes mains. Une lame précieuse, qui avait de la valeur. La lame était ébréché, usé, et avec le temps et les différents affutages, le métal avait fini par devenir moins épais, et moins résistant. Je lui jetai un coup d'œil avant de reporter mon attention sur la lame.

-C'est une belle arme. Hum... Je pourrai vous la réparer et la réaffuter, mais la lame tiendra tout au plus quelques mois, et encore, tout dépend de l'utilisation que vous en faites. Si vous la passez entre des côtes, je lui donne a peine quelques semaines, le temps qu'un coup mal porté atterrisse sur un os et qu'il brise la lame.

Je fis une petite pause avant de reprendre.

-Je peux vous proposer autre chose, mais ça vous coutera plus cher. Refondre la lame, mais elle sera plus courte, ou sinon, la remplacer par une autre. Je peux refaire la lame a l'identique, pour l'esthétique, mais avec un métal plus résistant, plus épais. Honnêtement, ce serai la meilleur solution, une seconde vie. Mais après ça dépend de vos finances, je ne veux pas vous pousser a choisir une solution plus qu'une autre. Et pour le même prix, je vous nettoie la garde, votre poignard sera comme neuf.

Je lui tendis le couteau de nouveau. La décision lui appartenais, et peut être voudrai-elle l'avis d'un concurrent.

Messages : 55 Date d'inscription : 04/09/2009

Quand il saisit l'arme Jane enleva sa main rapidement. Le poignard est peu-être user, mais la lame est un peu trop aiguiser, elle ne voudrait pas y perdre un fois, si c'est bien une blessure qu'elle ne veut pas avoir c'est cela! Elle le laissa regarder le vieil objet qui avait seulement survécus à la rouille, elle en prenait soin, elle ne laissera pas la rouille ou le sang ternir la brillance de l'arme...et il faut dire qu'elle ne s'en sert pas souvent. Le combat rapprocher n'est pas sa force, elle préfère combattre en pouvant garder le plus de distance possible entre elle et son adversaire. C'est toujours plus prudent et jusqu'à aujourd'hui sa lui a évité de se faire casser le nez plus d'une fois.

Il se mit à parler. Il avait une voix calme, mais elle ne perdit pas un mot de ce qu'il avait à lui dire. Elle ne savait pas quel choix prendre entre les deux qui lui avait offert, faut dire qu'elle en n'a un un peu plus important en tête aujourd'hui.

Il lui offrait silencieusement de reprendre son arme ce qu'elle fit sans pensé. Elle allait surement lui laisser pour le laisser travailler en paix au moment de partir, mais elle ne pouvait pas ne pas le reprendre... Cette objet fait parti de ceux que si elle enlève elle se sent complètement nue. Pas agréable du tout comment sensation.

-Beaucoup de personne que je connais me vente votre travaille. Je vous fais donc confiance pour ce qui serai le mieux pour mon arme tout en conservant si possible les pièces d'origine peu importe ce qui m'en coutera. Et pour ce que j'y connais vaut mieux que vous décidez pour moi.

L'argent n'était pas un problème pour Callista. Son manque de féminité lui avait permis de ne pas se mettre à tout dépensé en bijoux et en immense robe surcharger de tissus, bien sur elle devait payer pour ses vêtements, mais il coutait beaucoup moins cher... peu importe... À la fin de sa phrase elle fut déconcentré par une flamme qui s'échappa de l'espèce de four ou il avait mit la pièce qu'il travaillait à son arriver. Elle reporta son attention sur le forgerons tout en reprenant la parole.

-Dites moi votre prix et quand vous auriez le temps de vous en occupez.

Si elle acceptait le travaille serait-il amusant de le faire avec l'arme qui va lui réparé, enfin s'il accepte le contrat de réparation. Souhaitons que oui , elle se voit mal l'approcher comme ça sans raison , ça aurai l'aire trop louche,! Surtout qu'elle ne lui à jamais vraiment parler avant aujourd'hui et on ne peut pas dire qu'ils ont une grande conversation. La preuve que quelque fois les petites malheurs n'arrive pas pour rien.

Messages : 30 Date d'inscription : 24/08/2009

Elle voulait garder les pièces d'origines ? Ce serai difficile. Le métal était usé, l'idéal serai de faire une nouvelle lame, mais peut être qu'en le fondant de nouveau... Je venais d'avoir une idée. Je me grattais le crâne, hésitant a lui expliquer mes pensées ou non. Bah, autant lui épargner les détails, elle risque de pas comprendre. Je comptais refondre la vieille lame, et m'en servir pour faire le cœur de la lame, puis appliqué du nouveau métal, surement de l'acier afin de modeler le tranchant. Mais passons, il faut que j'estime le tarif et le temps.

-Hum... J'ai une commande prioritaire a terminer, mais je peux essayer de vous faire cela en fin de semaine. Même si ce n'est pas ouvert le week end, je travaille, j'ai rien d'autre a faire. Peut être pour le début de semaine prochaine. Quand au prix. Je pense autour des dix ou vingt pièces d'argent. Tout dépendra de ce que j'utilise.

Je fis une petite pause et repris pour lui fournir des explications.

-Si je peux me servir de la lame actuelle, ça coutera moins cher que si je suis obligé de la changer entièrement. Je vous dirai le prix une fois fini. Cela vous convient ?

J'attendis une seconde qu'elle me réponde. Le métal devait avoir chauffer suffisamment maintenant.

Messages : 55 Date d'inscription : 04/09/2009

Il lui fit une approximation du prit que sa couterait si le travaille était simple. Elle essaya de se rappelé de mémoire combien elle avait sur elle et ce qu'elle avait chez elle. Chose sur elle ne pourrai surement pas lui payer la totalité ce soir et elle ne lui payera pas même si elle le pouvait. Elle n'aime pas donner l'argent entier avant de voir le travaille fini. Lui il a une garanti de retour de la par de Jane, mais elle n'aurai surement rien d'autre que sa parole que le travaille va être fait d'ici quelque jour et de la manière qu'il va s'y prendre.

-En autant qu'il puisse me servir encore quelque mois ou au mieux quelques années de plus j'en serai très heureuse. Et il faut dire qu'il sert plus à éloigné les hommes trop entreprenant et non à se glisser entre les cotes d'une personne.

De nouveau elle lui ré-offrit son arme et allait se sentir nue comme au jour de sa naissance. De nouveau quand il la prit elle lâcha rapidement la lame pour ne pas perdre son doigts.

- Je vous le confis donc.

Elle allait partir mais une pensé la frappa tout à coup.

-La fatigue me fait perdre mon éducation. Je ne me suis pas présenté. Je m'appelle Callista Jane Wildwood. Une fois le travaille terminé vous pourriez passer à la boutique Wildwood ou tout simplement y envoyer un message et je reviendrais, faites comme bon vous semble je ne suis pas difficile. Sur ce je vais vous laissez monsieur Darkthorn , amoins que vous aillez autre chose à me dire ?

Messages : 30 Date d'inscription : 24/08/2009

Elle me retendis l'arme a nouveau, et je fis un sourire.

-Croyez moi, après ce petit séjour, elle pourra vous servir pendant des années, et votre progéniture également. A condition d'en prendre soin bien entendu. Une lame mal entretenue s'use plus vite.

J'allais revenir avec impatience près de ma forge et je tenais mon marteau quand elle se remit a parler. Je tournai le regard vers elle en l'écoutant. Maintenant que je connaissait son nom, ce serai bien plus pratique pour lui signaler la fin de mon travail. Je pris la parole a mon tour.

-Eh bien, pour finir les présentations, je suis Aaron Darkthorn, mais ça, j'ai compris que vous le saviez déjà. Et je suis ravi de faire votre connaissance.

C'était faux, je m'en contrefichais, mais ça faisait toujours bon effet.

-Et non, je ne pense pas avoir autre chose a ajouter. A part peut être une bonne soirée et une bonne fin de semaine.

Je fis un petit sourire et repris mes pas vers le brasier et la tige d'acier blanche de chaleur.

Messages : 55 Date d'inscription : 04/09/2009

Jane écouta les dernières chose dire par le forgerons. Il était temps de partir et de la laisser s'amuser avec ses tiges de métal ardent. Elle n'avait plus rien à faire ici. Elle tourna les talons pour s'éloigner le plus rapidement possible de l'endroit il commençait à se faire tard et elle avait ce qu'elle voulait. Elle lui dit rapidement un ''bonsoir'' par politesse.

La réponse n'était pas toute faite encore dans sa tête,mais sa ne devrai pas tarder. Cette rencontre ne lui avait pas fait ni chaud ni froid, elle n'avait pas beaucoup avancé, mais elle commençait à faire le tris dans les informations qu'elle avait sur lui. L'homme qui était venu la voir lui avait laisser quelque papier expliquant ce qu'il voulait et décrivant le peut de chose qu'il savait sur la peu-être futur proie de Jane... Tuer un homme n'est pas quelque chose de facile, ce n'est pas donner pour tout le monde... Il n'y a pas de retour en arrière possible, un fois fait c'est fait et il faut vivre avec les remords. La richesse d'un moment vaut-il la peine de perdre son âme ? Et si elle prenait goût par à suite à faire ce genre de petit contrat.... mais cette pensé vas trop loin, elle ne sait même pas si elle s'en sortirai vivante de cette affrontement....

Finalement elle n'avait réussi du tout à se faire une idée. Un bouffer de rage l'enveloppa... quand elle fut plus loin elle mit son pied dans un baril oublier par une marchant. Comme il était vide il tomba au sol , un hurlement de chat de fit entendre... Oups....

To be continued......

» Aaron Darkthorn [Fini]
» Dans la brume[M Darkthorn]