Nouveau vêtement en vue (Juliet)

Messages : 41 Date d'inscription : 26/06/2009 Localisation : In My Wonderland

C'était le temps de faire un changement. Ce bon vieux Franklin était rendu tellement vieux qu'il ne pouvait plus continuer à être le couturier de la famille. Serenity ne pouvait pas le regarder faire sans réagir. En temps normal elle à bon coeur, mais sa se voyait qu'il n'avait plus le coeur à l'emploie, la seule chose qui le gardait actif vis à vis sa famille était le fait qu'il aimait beaucoup Monsieur Simmons sa loyauté envers lui valait bien quelques années de travaille de plus. Pour ce qui était ce Sery, c'était le temps de faire changement. Depuis un moment elle attendait parlé par les femmes de la court d'une jeune couturière qui avait des doigts magiques. Les rumeurs disaient qu'avec un bout de tissus elle pouvait faire n'importe quoi et ce que Sery avait vu l'avait convaincue à faire appelle à la jeune femme. C'est donc ce qu'elle fit. Elle envoya un messager avec sa demande complète à la maison de la couturière qui accepta de la rencontré chez elle le lendemain dans la journée.

Serenity c'était placé au salon. Alexandre était parti avec le père de la maison un peu plus tôt dans la journée. Le jeune homme était toujours malade, mais ce n'était pas pour cette raison qu'il ne sortait pas de temps à autre. Quand il sortait en cheval avec son père il était le plus heureux des jeunes hommes du coin. Alexandre était parfait, c'était triste de le voir si fragile, souvent Serenity aurai voulu être à sa place. Plus tard sa pourrai le nuire quand il fera son entré à la cours, quant à elle , elle n'avait pas besoin d'avoir une santé de fer pour faire la belle... Enfin c'est ce qu'elle pensait. Jusqu'à aujourd'hui elle n'avait pas vraiment eu besoin de faire grand effort physique pour en arriver ou elle était... mais bon assez parler de lui....

Grace était parti a la cours faire le chant pour la reine mère accompagner de madame Simmons. Il restait donc quelque employer de maison avec elle. C'était tout de même imprudent de recevoir une inconnue, même si cette inconnue était une personne aimée de beaucoup de dame de la cours.

Assise dans le salon, une plume à la main et quelque feuille devant les yeux, elle se mit à écrire des idées qui lui passa par la tête. Elle avait tellement lut, aucune raison ne l'empêchait d'écrire pour se faire lire à son tour. Bien sur ce n'était qu'un passe temps, mais qui sait, peu-être qu'un jour elle pourra lire ses histoires à la Reine.

Messages : 15 Date d'inscription : 19/08/2009

Juliet était debout dans son atelier de couture, au magasin du bourgeois qui la faisait travailler. Elle avait une sacoche posée devant elle et y entreposait toutes sortes d’objet pour coudre, prendre des mesures et bâtir les robes. Elle voulait que tout soit parfait.
La veille, dans le courant de l’après-midi, un messager était entré dans le magasin en informant notre jeune couturière qu’il lui apportait un message de mademoiselle Serenity Simmons : la fille d’un comte. Habituellement, c’était les gens qui venaient chez Juliet pour voir les vêtements qu’elle avait, cette fois, ce serait elle qui irait chez la cliente pour faire du sur mesure. Un petit défi en soi, car il se pourrait que, si elle fait correctement son travail, le bouche à oreille ramènerait plus de client pour ses robes et autres habits. Et si il y avait plus de client, le bourgeois qui employait Juliet serait très content. Si le bourgeois est content : Juliet sera contente. Et ses parents aussi. Réaction en chaîne. Mais la jeune fille ne voulait pas se donner de faux espoir, aussi, elle redescendit rapidement sur Terre et signala au messager qu’elle acceptait de venir le lendemain à la résidence des Simmons.

Voici la raison pour laquelle ses mains tremblaient légèrement lorsqu’elle déposait son nécessaire à couture dans le sac. Evidemment qu’elle était stressée ! Un peu, quand même ! Mais en même temps, elle avait hâte de voir à quoi ressemblait une maison de noble, comment étaient les nobles eux-mêmes. Une autre chose qui angoissait Juliet : elle ne savait pas si elle serait à la hauteur, et elle ignorait comment il fallait réagir avec les nobles. Elle qui n’était qu’une simple bourgeoise, une riche bourgeoise, certes, mais elle était quand même née au plus bas de l’échelle.

Fermant son sac et respirant calmement et profondément, Juliet se décida enfin à sortir de son atelier et à se rendre à la résidence des Simmons. Elle y fût accueillit par l’un des serviteurs qui attendait son arrivée. Il l’accompagna auprès de Serenity Simmons, la demoiselle qui lui avait demandé de venir.

Tout en avançant dans le maison, sur les talons de son guide, Juliet ne pût s’empêcher d’observer un peu autours d’elle et d’apprécier la beauté de la maison. Cela se voyait qu’ils étaient nobles et riches, évidemment, et qu’ils n’étaient pas nés de paysans non plus. Juliet ne pourrait jamais vivre dans une telle résidence.

Juliet arriva enfin dans le salon et le serviteur s’arrêta à la porte. La comtesse se tourna vers les deux nouveaux arrivants et Juliet fit une révérence respectueuse. Elle ne savait pas si on faisait une révérence aux nobles qui n’appartenaient pas à la famille royale, mais elle se dit qu’il vallait mieux en faire une, au cas ou…

« Mademoiselle la Comtesse. »

Pourquoi disait-on cela ? Mademoiselle Simmons devait sûrement savoir qu’elle était ‘Mademoiselle la Comtesse’ et que l’on n’avait pas besoin de le lui rappeler. Mais c’était ainsi que Juliet avait entendu d’autres personnes saluer.

[HJ: Je suis vraiment - vraiment - vraiment désolée pour le retard ! =S ]

Messages : 41 Date d'inscription : 26/06/2009 Localisation : In My Wonderland

La plume caressait doucement le papier blanc. Les idées de Serenity se bousculait dans sa tête pour apparaitre grâce à l'encre noir sur les feuilles blanches. Elle avait écrit plus de dix pages quand une personne fit son entré dans la pièce refermant rapidement la porte de laquelle s'échappait ses pensés. Une jeune femme blonde accompagner d'un homme de maison était devant elle à l'autre bout de la pièce. Serenity la regarda en silence tout en la détaillant du regard. Elle n'avait pas imaginé la couturière avec ce physique. Enfin , elle déduit que c'était elle comme elle n'attendait personne d'autre et que tout comment le visage de la couturière le visage de la jeune femme y était inconnu. Elle mit ses feuilles dans une seule et même pille puis replaça la plume dans le pot d'encre avant de se lever. Tout en avançant la petite blonde, cette dernière la salua en lui faisant la révérence tout en l'appelant comtesse. Lady Simmons s'arrêta tout en lui offrant la même salutation.

-Bonjour Lady Wilfson.

Elle lui sourit puis remarqua le sac énorme que portait la jeune femme. Sery regarda l'homme de maison tout en prenant de nouveau la parole.

-Carl, aidé mademoiselle Wolfson à se débarrasser de ses biens et allez nous faire une peu de thé s'il vous plait.

Carl:Bien Lady Serenity.

L'homme s'activa. Il prit le sac de travaille de la jeune femme pour la débarrasser. Il le coté de la table du salon tout en quittant la pièce pour se rendre en cuisine. De son coté Serenity fit signe à la jeune femme de prendre place avec elle dans le canapé question d'être plus confortable pour parler. Ce n'est pas parce qu'elle emplois Juliet qu'elle doit oublier son rôle de dame de maison.

-Alors Lady Wolfson. Vous avez fais bonne route ? Ce n'était pas trop pénible ? Comme il y a eu de la pluie toute la nuit le chemin devait être glissant. J'ai pensé vous envoyez un coché habituer sur cette route, mais ma famille a fait appelle à ses services tôt ce matin.

Messages : 15 Date d'inscription : 19/08/2009

Le jeune homme répondant au nom de Carl et qui avait accompagné Juliet jusqu’à mademoiselle Simmons fut prié de prendre les affaires de notre jeune couturière et de préparer du thé. L’homme s’exécuta à la seconde même où Lady Simmons termina sa phrase. Il prit le sac de Juliet et alla le déposer à côté de la table du salon avant de disparaître derrière la porte qui devait sûrement cacher la cuisine.

De son côté, Serenity invita Ju’ à s’asseoir. La jeune blondinette fût tout d’abord étonnée et se demanda si elle avait bien compris mais de toute évidence, Serenity était plutôt du genre accueillante. Bon point ! Julietne lui laissera pas d’aiguille dans sa robe pour se venger comme cela !.. Bien sûr que non, Angel n’aurait jamais fait cela ! Elle n’était pas de ce genre ! Elle se venger ? Impossible. Elle était bien trop sage et pacifiste pour cela.

Juliet s’assit alors sur le canapé avec toute la légèreté et la délicatesse d’une plume, comme si elle avait peur de le froisser, puis Mademoiselle Simmons la questionna sur son trajet, si la route n’avait pas été pénible et si son court voyage c’était bien passé. D’après ce qu’elle disait, elle avait songé à envoyer un cochet à notre jeune couturière, mais il était déjà partit avec le reste de la famille de la comtesse.

« Tout c’est très bien passé, je vous remercie ! Le chemin n’était pas aussi glissant que l’on aurait pût le croire. »

Hum… Si Ju' était quelqu’un de timide et réservée, qui avait déjà du mal à parler avec les personnes du tiers état, paysan ou bourgeois, si elle n’était pas en train de parler de son travail, elle l’était encore plus si elle devait parler à une personne de la noblesse ! Elle réfléchit un instant. Elle ne savait pas si le fait qu’elle n’était pas à l’aise se voyait beaucoup, mais peu importait. Elle ne savait pas ce qui était considéré comme impoli ou pas avec les gens du rang de mademoiselle Simmons.

« Hum… Est-ce que vous aviez des idées en ce qui concerne la robe que vous souhaitez que je crée ? Est-ce pour une occasion particulière ? »

Un sujet de conversation dans lequel Juliet se sentait mieux. Juliet espérait que Serenity ne lui en voudrait pas de changer de sujet ainsi…

Messages : 41 Date d'inscription : 26/06/2009 Localisation : In My Wonderland

Elle prit confortablement place avec la couturière sur le divan. L'employer de maison arriva rapidement avec un plateau garnis de tasse , d'une cafetière et de quelque sablé fait par sa mère. La femme passait quelques fois ses moments de solitude dans les cuisines et savait très bien se servire des ingrédient et d'un four.

-Ravie que vous ayez fait bon voyage.

Elle lui sourit tout en s'occupant du plateau qui était arriver elle prit une tasser et l'offrit à la jeune femme et prit la sienne. Elle en bu une chaude gorger tout en écoutant la jeune femme parler.

Une idée, oui elle en avait une, mais elle ne sait plus si elle va pouvoir la garder. Il y a quelques jours elle avaient voulu avoir une robe violette comme la dernière ne lui faisait plus comme elle avait beaucoup grandis, mais maintenant elle n'est plus sur de vouloir une telle chose. Pourquoi ? Surement par désir de ne pas plaire. Le roi lui avait dit que le violet lui allait bien avec l'aide d'une fleure trouver dans le jardin. Il aimerai la voir un jour avec une tel couleur... Comme son père avait tendance à la faire aller a la cour avec sa sœur un peu trop au hasard depuis quelque temps, elle ne voulait pas risquer de se faire voir avec une telle couleur. Son but n'était pas de plaire au roi comme le faisait la plus part des femmes de la cour qui se mette à roucouler quand il entre dans la pièce.

-Je ne sais plus trop... J'ai des idées, mais elles sont trop nombreuse pour que je puisse faire en sorte qu'elles s'emboite pour faire quelque chose de magnifique, mais prenez note que je ne porte pas de fourrure sa me donner des picotements.

Vive les allergie.

-J'avais pensé à des teintes froide , ma première idée étant d'avoir une robe violette et la seconde prendre un mélange de violet, marine et argent. Je n'arrive pas a arrêter mes idées sur quelque chose de précis. Comme vous êtes à ce que l'on dit une femme plus que douer j'espère que vous seriez capable de m'aider.

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